dimanche, novembre 12, 2006

histoire d'été

C’est l’histoire d’une fille qui travaillait avec d’un garçon. Ils se parlaient à l’occasion, un allo ici et là, rien de plus. La fille n’était pas attiré par lui & lui n’avait jamais démontré d’intérêt pour cette fille. De toute façon il était en couple.

Une année de travail passa.

1ier cours de littérature de la session. Ce gars se retrouva dans le même cours que la fille. Ils décidèrent donc de faire équipe pour la session. Ils apprirent à se connaître un peu. Les adresses email s’échangèrent pour les travaux. La session passa. Le gars & la fille se parlaient un peu plus au travail, et rigolaient ensemble et avec les autres employés. Ils discutaient ensemble sur internet de tout & de rien. L’hiver tira à sa fin. Toujours une faible amitié stable qui n’avait pas évolué. Un soir d’été la fille ne trouvait rien à faire. Devant son écran, personne n’était là pour répondre à ses tentatives de « qu’est-ce qu’on fou? » jusqu’à ce que le gars se pointe et lui réponde : « J’veux pas que tu t’imagine rien là, mais viens faire un feux avec moi! ». Sans arrières pensées la fille accepta l’invitation, enfin elle sortait de chez elle! Se rendit chez le gars.

Une petite soirée à se chauffer devant un feu l’été, sous les étoiles. Un train qui passait de temps en temps, et 2 personnes qui discutaient de pleins de trucs…tantôt drôle, tantôt sérieux, bref une soirée agréable. Les semaines suivantes, les feux se multipliaient, avec saucisse hot-dog, guimauves, café, bière.

Un soir le gars l’emmena rouler. Ils se rendirent à la plage. C’était désert, une brise d’été juste assez fraiche pour donner quelques frissons. La fille marchait pied nu dans l’eau, pendant que le gars, assis sur le banc de sauveteur, était perdu dans ses pensées. La fille aurait apprécié qu’il vienne s’asseoir à ses coté pour jaser encore et encore en regardant les étoiles.

Les sorties en voiture vers l’inconnu se multipliaient. La fille commençait à avoir de l’intérêt pour le gars...bien malgré elle. Ça ne semblait pas réciproque. La fille essaya de refouler ses sentiments et n’en parla pas. Plus ils passaient du temps ensemble et plus la fille développait son intérêt.

Un jour la fille présenta sa meilleure amie au gars. Bien vite le duo se transformait en trio. Plusieurs soir dans la semaine ils se rencontraient chez l’un, chez l’autre, dans un café, dans une pizzeria ou dans une voiture. C’était agréable. Un jour la fille eu l’impression que le gars accordait plus d’attention à sa meilleure amie. Une fois de plus la fille essaya de se raisonner et de se dire que le gars les traitait à égalité. Mais dans son cœur c’était plus fort qu’elle. Chaque fois que le gars regardait son amie, chaque fois qu’elle le faisait rire, chaque fois qu’il la touchait, c’était comme un pincement dans son cœur. La jalousie s’installait malgré les efforts qu’elle déployait pour éviter que cela arrive. L’idée que 2 amies détruisent une amitié pour un gars l’avait toujours fait rire, mais voilà que le sentiment d’une telle situation l’envahissait. Mais elle réfléchissait à voix haute et essayait de se convaincre qu’elle avait tort (surtout qu’elle avait fort probablement tort). La fille voulu prendre son courage à 2 mains et avouer cette tristesse à sa meilleure amie, sa confidente, mais les situation ne le permettaient jamais… ou était-ce parce que il lui manquait un peu de courage?

Son amie elle, ne ressentait aucune attirance pour le gars. Ce n’était qu’une simple amitié. Pour le gars, l’histoire ne dit pas s’il ressentait quelque chose pour l’une ou l’autre des 2 filles. Et la fille avait mal dans son cœur. Elle détestait le gars d’agir ainsi, et détestait son amie de se laisser ainsi faire. La fille avait sans cesse le goût de pleurer, le goût de repartir chez elle lorsque le gars et son amie étaient là à rire et se parler.

La fille avait toujours vu son amie comme la fille idéale…la fille que tous les hommes aimeraient avoir, et cela ne l’avait jamais dérangé, mais maintenant que le cœur de la fille désirait ce garçon, elle avait « peur » qu’il ne regarde que son amie…

Cette année là, une amitié fut brisée. Sa meilleure amie lui cacha quelque chose, au bout d’un certain temps, la fille sentait que l’amitié entre elle et sa meilleure amie ne passait plus comme à l’habitude, et son amie ne semblait pas agir « normalement » envers elle. Jusqu’à ce que la fille prenne son courage à deux mains et lui demande des explications. Chose qu’elle regretta amèrement, au prix d’une amitié. La fille trop orgueilleuse pour accepter la situation se terra dans le silence. L’été fut terriblement dur pour elle. Plus d’amis à qui se confier, plus personne pour rigoler. Elle tenta finalement de laisser son orgueil de coté. Essaya d’appeler sa meilleure amie…personne. Lui écrivit qu’elle pouvait venir la voir, lui téléphoner à son appartement, venir souper un soir, se voir et se parler. Pas de réponse. À la fin de l’été, la fille cru que s’en était assez de courir pour réparer une amitié brisée dont elle n’était pas en majeure partie responsable. Elle abandonna et écrivit une lettre d’adieu finale à son amie qu’elle posta.

Ce fut la fin.

Encore aujourd’hui la fille souhaite dans son cœur que son amie apparaisse devant sa porte, ou qu’elle l’appelle. Mais dans sa tête elle sait qu’elle ne réagirait probablement pas très bien envers celle-ci. Pas une journée ne passe sans qu’elle se demande ce que son amie d’autrefois fait et comment elle va. Dans sa tête tout est contradictoire, elle le sait bien, mais elle ne comprend toujours pas.

Samedi

Je sent mes larmes envahir mes yeux telle une marée sur une plage.

Je ne puis les retenir.

La fatigue continue d’envahir mon corps déjà épuisé de toute son énergie. Il m’est impossible d’expliquer ce qui se passe puisque les mots me manquent.

C’est un sentiment indescriptible qui m’assaille déjà depuis trop longtemps. L’amour s’est installé en moi sans que je l’aie demandé…pourquoi?

J’appréhendais ces instants où un jour un homme me mettrait dans un tel état. Ce n’est point de sa faute puisque lui-même n’a pas connaissance de cette chute invisible qui m’atteint. Je souffre en silence de ne pouvoir avouer mes pensées et mon désir. Comment un sentiment, quelque chose d’invisible, peut créer un tel malaise et un si grand chagrin? Le rythme cardiaque s’accélère, la respiration s’intensifie, une chaleur envahit ma poitrine, et ce, à chaque fois que mon regard croise le tien. Et je reste silencieuse comme si tout était normal. Je me couche le soir venu en pensant à toi, a elle aussi. J’ai si mal!

Tu ne t’en rends pas compte. Dois-je t’en vouloir d’être aveugle à mon désarroi? ou seulement accepter de taire complètement ma tristesse?

Je me sens mal. Y a-t-il moyen d’atténuer cette souffrance??

pathéticité? ça se dit?

L’être humain est une drôle de race...a regarder les gens agir ca me fait "rire" on est tellement pathétique...jme compte dans le lot. Et tout le monde a son ptit train train de vie et fait ce qu'il a à faire.

J'aime pas la sensation qui m'envahi...j'ai une "poussée" de jalousie extrême...dans le fond c'est moi la pire..je le sais trop. Personne ne se rend compte de rien...je souffre bordel!

je suis à bout écoeuré tanné pu capable..en voulez vous des synonyme..en voilà...

Une amitié à détruire c'est tout ce que mon cerveau me sert ces temps-ci...et moi comme une conne je le laisse agir...ce soir j'ai décider de rester seule, histoire d'essayer de sauver le peu qu'il reste...pourquoi tout change tant...pourquoi une connerie peux faire autant de mal.

et l'alcool coule à flot dans mes veines, mon cerveau deviens de moins en moins fonctionnel mais tente quand même de rester éveillé malgré tout...allez..essaie de réfléchir asteur....trop fuckée!

quescequ'on fait dans ces cas là? Je sais, ya sûrement quelqu'un quelque part sur cette planète qui à déjà vécu ce que je vit, mais je me sent seule...comme si c'était une première mondiale. Pourquoi aimer nous rend comme une bête? comme un animal? pourquoi je deviens si distante, pourquoi je deviens aussi possessive envers quelqu'un qui ne m'appartient pas et ne m'appartiendra jamais?

Pourquoi je me sens si stupide?

Arghhhhhhhhhh

Et une "fiuse" de plus de sauté dans mon ptit cerveau.

J'ai juste le goût de hurler...être sur le bord d'un précipice et juste hurler tout ce que je peux..me semble ca me ferais du bien!

je déteste être ce que je suis depuis quelques mois.

Pourtant tout va bien dans ma vie excepté ce petit point là...ce gars...cet amour impossible...quesce qu'on fait dans ces cas là? J'ai beau essayé de raisonner mon coeur...rien à faire..pas capable.

Pourquoi j'ai l'impression d'avoir gaffé en te présentant ma meilleure amie? Rien n'est clair dans ma tête en ce moment..ca tourne...

Et demain qui arrive à grand pas..un ptit voyage québec-chicout avec vous 2...jvais mourir ........

Pourquoi

Pourquoi l’amour fait-il tant souffrir?

Espèce de souffrance indescriptible, pourtant indolore physiquement mais si présente. Comment des sentiments peuvent-ils provoquer cette sensation??Comment quelque chose d’imperceptible peux créer un mal ressenti physiquement?

Tu la regarde, et tu soupir de ne pas pouvoir l’atteindre, et moi je te regarde la regarder et je soupire de ne pouvoir t’atteindre. Cette soirée que j’avais tenté d’imaginer durant toute la semaine, fut presque décevante. J’avais tellement trop imaginé des trucs qui, avec un peu de prévision et moindrement de la logique, étaient impossible. J’aspirais quand même à cette impossibilité. À la fin de cette soirée je t’en voulais a mort, j’avais le goût de partir loin et seule, de pleurer en silence qu’on me « sacre la paix »…c’était bien malgré toi…tu te retrouvais « ennemis » sans le savoir. La nuit passa et finalement mon cœur t’accorda une fois de plus cet amour inconditionnel que je ressens envers toi. Tu sais, je m’excuse, je ne t’ai pas « choisi » j’essais tellement de te trouver des défauts les uns pires que les autres pour me décourager de t’aimer…on dit que l’amour rend aveugle…j’ai tendance à le croire car je n’arrive pas à décrocher de toi. J’ai toujours envie de te toucher, de seulement être bien blotti contre toi, de faire plein d’activité, te parler, te faire rire. Tu es souvent à proximité de moi et je souffre en silence de ne pas pouvoir t’approcher davantage. Je deviens jalouse lorsqu’elle te regarde et te sourit, même si au fond on sait tous les 2 qu’elle ne ressent rien pour toi. Si tu savais à quel point moi je t’aime. C’est fou, je croyais connaître l’amour… ça a rien avoir avec ce que je ressent là maintenant, et ça me tue. Je déteste me sentir comme ça. Elle est si privilégiée que tu t’intéresses à elle, mais ne s’en rend pas compte. Qu’est-ce que ça va prendre pour que mon amour pour toi disparaisse? C’est un peu bizarre à dire, mais ça m’épuise de t’aimer!